Au lendemain de la journée de repos, prise de contact avec la montagne. On sera sur des petites routes toute la journée. Le scénario est assez ouvert : l'étape n'étant pas trop longue (158,5 km), personne n'aura peur de se livrer. Les coureurs n'auront pas à gravir des cols longs, mais durs, avec de la pente. Après la descente de Croix-Fry, les coureurs devront emprunter un chemin de terre de 2 km, sur le plateau des Glières. La course ne se jouera pas dans ce secteur, placé assez loin de l'arrivée. Certains vont redouter la crevaison. Le final, avec l'enchaînement Romme-Colombière, promet d'être musclé. La descente sur le Grand-Bornand n'est pas tres technique, mais nécessite de pédaler un peu. Au terme de cette journée, on devrait y voir plus clair, les contours du général se dessineront.