"C'est désormais traditionnel : une journée de repos le dixième jour, pour permettre aux organismes de souffler. Quel visage aura le classement général après la coupure andorrane ? Je le répète : nous sommes trop loin de Paris pour que le Tour soit joué, et les pièges encore trop nombreux. Comme cette étape qui commence par l'ascension du port d'Envalira, rendu célèbre en 1964 par l'attaque de Poulidor et la défaillance d'Anquetil, avant que le Normand ne rétablisse la situation. Sur le papier, c'est un terrain idéal pour les baroudeurs. Avant la côte de Saint-Ferréol, aux portes de Revel, pour terminer le ménage..."