"Autre concession à l'idée moderne que nous nous faisons du Tour de France : la possibilité d'un suspens total, d'un suspense jusqu'au bout. A la veille de l'arrivée sur les Champs-Elysées, nous sommes encore en pleine montagne, et toujours sur un format court (146,5 km), toujours sur un format dynamique (4 cols). Et si tout se jouait, après l'ascension des Aravis, de la Colombière, de la Ramaz et de Joux Plane, dans la difficile descente vers Morzine ? Scénario très plausible. Je vous rappelle que l'an passé, Christopher Froome a été près de s'effondrer dans l'Alpe-d'Huez, la dernière ascension du Tour..."